mercredi 16 mai 2012

Extrait de l'épiside S10E05 POV Clark

Hello Hello

Voilà le prochain extrait de cette fic... ça fait longtemps que je n'en avais pas écrit. Je me sens un peu rouillé lol

Je ne suis pas très satisfaite, je préférais l'extrait d'avant. Mais je vous le poste quand même. De toute façon, je n'ai pas d'autre idée concernant ce passage... je suis désolée d'avance
Au départ, j'avais commencé l'extrait au moment ou Clark dit "I'm the blur", mais en reregardant l'extrait, j'ai trouvé que c'était un peu bizar... Clark voulait tout dire à Lois, et là, il hésite?? pourquoi? et Lois à beau émettre des signaux plus qu'évident... Clark ne semble pas trop dans la conversation... Bref, j'ai donc repris cette partie, pour essayer d'imaginer à quoi il pensais à ce moment là.

Après, à vous de voir si mon explication vous satisfait.

Dans tous les cas, pour la suite, j'ai essayé d'imaginer comment on arrive du baiser à la voiture de l’épisode suivant ou Lois sait déjà quasiment tout sur Clark.

Donc comme d'habitude, un petit extrait pour mettre des mots derrière ma frustration des scènes cachés de smallville.




Extrait du 10e05

Pov Clark

Et voilà, encore une fois, mon secret venait de blesser Lois. Une fois encore, on me prouvait  à quel point ce secret était dangereux. Juste au moment où je pensais tout lui dire, on me rappelait les risques que je pouvais lui faire prendre si elle en savait trop… et même au sein de notre salle de rédaction.

Ce n’était qu’une égratignure, j’en étais conscient, mais Cat avait réussi à enfoncer ce stylo jusqu’au sang uniquement pour prouver une théorie insensée. Une théorie qui n’aurait pas existé si elle n’était pas aussi proche de moi !

J’avais emmené rapidement Lois dans la salle des archives ou se trouver une petite trousse à pharmacie, afin de nettoyer sa plaie.

« Je sais que la plume est plus puissante que l’épée, mais cette fois Cat était à l’ouest. » Me dit Lois quand je posais un pansement sur sa blessure.

« Lois Lane est peut-être épatante, mais tu sais comme moi, que je ne suis pas le plus grand héros que le monde est connu. » Dit-elle dans un grand sourire. J’aimais la voir si confiante en se que j’étais, mais je m’en voulais de l’avoir mis une fois encore dans une situation qui avait fait couler son sang.

« Lois, je suis désolé qu’il ait fallu un stylo planté dans ta main pour que la vérité éclate. » Dis-je désolé de cette situation.

« La vérité ? oui, c’est vrai… parlons en… la vérité a propos du Flou ? Qui est-il ? Le Grand mystère ? Bien sûr, il ne m’a jamais dit son identité. Alors je suppose que je ne le connais pas vraiment. Pourtant… Il m’arrive d’en avoir l’impression… » dit-elle me regardant droit dans les yeux.

Je tressaillis, ces mots, sans le savoir, m’atteignaient…  qu’essayait-elle de me dire ?

« Ce que je veux dire, Clark… C’est que… le Flou et moi… et bien… nous… nous avons ce lien particulier. »  Continua t-elle… « Et cela ressemble beaucoup à se qu’il y a entre nous deux. »

Je ne pouvais m’empêcher d’aimer l’entendre me dire ces mots. Une façon de me dire qu’elle aimé les deux partie de se que j’étais sans le savoir.

« Parce que je… » Elle s’arrêta brusquement, comme confuse, son visage changea, elle semblait inquiète… inquiète de quoi ? De ma réaction parce qu’elle essayait de me dire qu’elle avec un lien avec une autre personne que moi… si elle savait que c’était moi…

Comment pouvais-je continuer de lui cacher ma double identité, lorsque même ses sentiments étaient en jeu. Souffrait –elle de son attirance pour moi et pour le Flou. Elle était si intuitive, si aimante aussi bien pour moi que pour mon alter égo… Avais-je le droit de continuer de lui cacher la vérité…  je n’aimais pas lui mentir…  mais…

Elle s’éloigna de moi rapidement.

- Dieu, je voudrais que tu sois un miroir… continua-elle.

Je pensais à ses mots tout en rangeant machinalement les produits et pansements que je venais d’utiliser sur elle… Utiliser pour soigner sa blessure, une nouvelle blessure… encore… à cause de moi.  A cause de ce secret… pouvais-je prendre le risque de lui dire… devait-elle savoir à présent ?

- Hum hum ! m’interrompit-elle tout en se retournant vers moi.

Elle avait ce regard un peu perdu et confus, comme si elle essayait de me dire quelque chose.

- Ce que j’essaie vraiment de te dire, c’est que, toi,  je te connais bien…

Je fermais les yeux un instant, oui, elle me connaissait, mais pas entièrement… Et pourtant je voulais tellement qu’elle sache…  tellement… mais c’était surement mieux ainsi, moins de danger.

- Mais tu ne connais pas le Flou. Dis-je sans conviction.  Il garde probablement son secret pour une raison. Continuais-je à contrecœur espérant la protéger encore de ce secret.

Son regard changea, j’avais l’impression que ses yeux me crier quelques choses que je ne saisissais pas. De la tristesse ?

- Alors il ne me dira jamais qui il est ? répondit-elle, comme une évidence.

Elle attendait, silencieuse, une réponse de ma part…

- Non, si cela doit mettre ta vie en danger. Avouais-je sentant de plus en plus ma raison se briser.

Devant son regard, son attente, j’avais l’impression que mes défenses s’effilochaient. La vérité s’échappait, et pourtant j’essayais encore de la retenir…

- J’aimerais qu’il sache que je suis prête à prendre un tel risque. Ajouta t-elle.

Sans qu’elle ne puisse le comprendre, les mots qu’elle venait de prononcer étaient comme une caresse sur mon cœur. Je le sentais battre plus vite, plus fort. Une vague d’émotions m’envahissait…

Lois avança vers moi, son visage toujours empreint de tristesse, comme si… elle attendait quelque chose.

Elle passa devant moi et se dirigea vers l’ascenseur. Était-elle prête ? Vraiment prête ? Etais-ce le moment ? le bon moment ?

Je pris une profonde inspiration, la peur envahissait chaque partie de mon être… si elle partait, si elle partait sans jamais savoir… au moment ou j’entendis la porte de l’ascenseur, je décidais de saisir cet instant. Alors je me lançais, le cœur battant.

- Toute ma vie j’ai eu peur Lois…  dis-je me retournant vers elle. Peur que des gens apprennent la vérité sur moi, peur qu’ils me rejettent, et même si ça n’était pas le cas, peur de les perdre. J’ai toujours eu peur de tout ce que je ne pouvais pas contrôler.

Lois me regardait droit dans les yeux. Elle m’écoutait, le visage impassible. La peur me tenaillait, mais je ne pouvais m’empêcher de continuer.

- Mais quand j’ai été confronté à l’idée de te perdre à jamais, ça m’a fait réaliser qu’il y a quelque chose que je pouvais regretter plus que toute autre chose, c’est de na pas t’avoir dit la vérité sur moi. Si on veut passer notre vie ensemble, tu dois tout savoir.

Je vis dans ses yeux une lueur étrange, qui m’incita à continuer, elle m’écoutait, attentive.

- Je sais combien les chances sont contre nous et combien gros sont les risques, mais si tu es prête à faire ce saut, il n’y a personne d’autre avec qui je voudrais franchir ce cap.

Je me retournais, réalisant tout un coup que dans une seconde, plus rien ne serait comme avant, et que je pouvais tout perdre comme tout gagner.

- Lois, tu as eu beaucoup de questions à propos du Flou, C’est moi.

Je repris ma position initiale, encrant mon regard dans le sien pour qu’elle comprenne vraiment.

- Je suis le Flou...

Je la regardais droit dans les yeux. La bombe était lancée et je devais avouer que je n'avais anticipé aucunes sortes de réaction. Je connaissais son attachement pour mon alter-ego, mais je ne savais pas comment elle allait réagir à mes mensonges depuis si longtemps. Mon esprit se dissipait tandis que je laissais le temps à Lois de digérais la nouvelle. Mon corps était crispé par l’angoisse.

Voilà, c’était dit… maintenant elle savait…

Son visage n'exprimait pas la moindre émotion, l'effet de surprise, le choc... jusqu'à ce que tout change. La seconde d’après, je la vis se précipiter vers moi le visage rayonnant et me sauter dans les bras.

Je fus tellement étonné par sa réaction qu'au moment ou elle me percuta je tombais à la renverse l'emmenant dans ma chute.

Quand nous nous retrouvions un minimum stabilisé sur un amoncèlement de cartons sur le sol, elle posa ses lèvres sur les miennes dans un baiser enflammé. Je répondais instinctivement et me laisser aller à sa douceur.

- Tu en as mis du temps. Finit-elle par me dire tout en me regardant droit dans les yeux.

Et a ce moment la, une idée nouvelle me traversez l'esprit...

- tu...??

Elle posa un doigt sur mes lèvres m'empêchant d'en dire davantage.  Elle hocha simplement la tête en signe de confirmation. Elle savait.

Son sourire était si beau et si rassurant que je ne pu a ce moment que me sentir heureux. Elle savait et elle m’acceptait.

Elle se rapprocha une fois encore de mes lèvres et m'embrassa de nouveau. Je lui rendis son baiser avec tout l'amour que j'éprouvais pour cette femme. Je remontais les mains sur ses hanches et l'attirer encore plus a moi.

Elle savait, et elle restait... Et elle m'aimait...

De nombreuses questions étaient en train de se former dans mon esprit, mais son baiser était trop bon pour que je n'ose le stopper. Elle semblait heureuse a ce moment la et moi je l'étais encore plus.

En quelques jours, nous nous étions avouer nos sentiments et plus de secret nous séparer. J'avais l'impression d’être libéré d’un poids et de découvrir une nouvelle liberté.

Je revis ce futur que j'avais aperçu quelques jours auparavant, celui où Lois était à mes côtés quoi qu'il arrive. Je compris à ce moment là que plus rien ne pouvait me séparer d'elle.

Sa peau était si douce, ses baisers si bons. Je me laissais entrainer dans ce moment de paix et de bonheur quand mon oreille surdéveloppée capta un son.

"Lois par ci, Lois par là... Se qu'elle peut m'énerver!"

Le pipelettement de Cat se rapprochait de plus en plus. Alors au même moment je soulevais Lois et sans réellement arrêter le baiser dans lequel nous nous étions plongées, je nous remis dans une position moins délicate. Lois surprise se décrocha tout en me regarda espiègle?

-  Qui a t-il? Me demanda t-elle

- Rien! Répondis-je rapidement en réajustant ma cravate au moment même ou Cat entrât dans la réserve. Seulement un contretemps. Ajoutais-je plus bas tout en me penchant vers elle.

- OOooh! Euh!!! Qu'est se que vous faites la!?? Demanda Cat plus que surprise de nous trouver dans une position qui ne laissait pas vraiment de place au doute.

Lois se recula précipitaient tout en dirigeant vers elle!

- A ton avis, Blondie! ! Tu as besoin que je te l'épelle... S.E.x...

Le visage de Cat s'empourpra.

- Tu n'aurais pas l'impression d'être de trop?! Répliqua Lois du tac au tac.

Cat la regarda l'air choquer.

- Je ne pense pas que se soit l'endroit «public » le plus approprié! Répondit-elle de sa voix nasillarde en accentuant le mot "public"

- Il était privé, jusqu'à se que tu viennes mettre ton nez dans nos affaires.

- Oula! Stop! Lois, viens. Je pense qu'on pourrait trouver un lieu plus tranquille pour finir notre conversation! Sans attendre qu'elle ne réplique, je la pris une fois encore par la main et l'obligea à me suivre.

- Et si tu ne m’avais pas enfoncé un stylo dans la main, je ne serai pas venu ici! Se sentit-elle quand même obliger de répondre.

Quand l'ascenseur se referma, elle se tourna enfin vers moi, le regard rieur et heureux.

Un sourire éblouissant envahit ses lèvres.

- Alors ou vas-t-on ?

Au moment ou la porte de l'ascenseur s’ouvrit, je la pris dans mes bras en super vitesse et nous emmenais à la ferme.


Je la déposais sur le sol de la grange et la laisser se remettre sur pieds. Elle semblait légèrement chancelante.

- wouah, je savais que tu étais rapide, mais là... Je n'aurai pas pu l'imaginer... Dit-elle d'une voix un peu lointaine.

Elle se retourna vers moi et ajouta.

- Je suppose sur je vais devoir prendre l'habitude? Dit-elle tout en retrouvant son sourire chaleureux.

- Je pense que ça va faire partie des petites choses qui vont faire de notre relation... Une relation particulière. Dis-je un peu hésitant.

- D'accord! Répondit-elle comme s'il s'agissait d’une chose des plus banale.

Elle se dirigea ver s le canapé et pris ses aises...

- Et quoi d'autres?

Devant son visage à la fois curieux et incroyablement rayonnent, je ne pu me sentir que bien a l'idée de tout lui dire.

Je m'installais a ses cotés et la regarder droit dans les yeux.

C'était étrange de me retrouver dans cette situation. Bien que j'avais déjà imaginé mille scenarios de ce moment ou je lui dirais tout, jamais dans mes hypothèses Lois n'avait semblé si détendue et prête à tout entendre. Il n'y avait pourtant aucune raison de croire le contraire. Elle avait déjà parfaitement réagis, la fois, avant de remonter dans le temps, ou je lui avait tout dit. Peut être, que mes sentiments à cette époque n’étaient pas aussi évidents et important à mes yeux. Maintenant, je ne me sentais pas capable de la perdre. Et cette peur me serrer l'estomac.

Pourtant à ce même  instant ou je plongeais mon regard dans le sien, je ne voyais que du bonheur. Ce bonheur d'être avec elle. Qui m'avait tant soutenu, et ceux, avec n'importe quelle facette de mes identités. Ce bonheur que j'avais entrevu dans mon futur et qui semblait a cet instant tellement a portait de mien. Je le voulais. Je voulais le prendre et ne jamais le lâcher.

Sa main sur mon visage me sorti de mes pensées.

- Peut-être, peux-tu commencer par le jour de la pluie de météorite. Dit-elle espérant m'aider  à commencer mon histoire. J'appréciais sa caresse et emprisonna sa main dans la mienne.

- Non, je vais devoir la commencer bien avant. Répondis-je énigmatique.

Je pris une grande inspiration et commençais mon récit.

- A ma naissance, j'étais entouré de parents aimants et attentionnés. Mon père était Jor El et ma mère se prénommait Lara. Mon père était un grand scientifique de Kandor, ma ville de naissance, il était respecté et reconnu comme un des esprits les plus brillants. Un jour, il découvrit qu’une catastrophe était sur le point de tout détruire.  Rapidement, il essaya de prévenir le Conseil des Anciens que la vie de tous les habitants étaient en danger, que notre soleil, trop vieux, était sur le point d'exploser et qu'il anéantirait tout le système solaire et la planète avec lui.

Au moment ou je racontais mon histoire, je sentis Lois tressaillir, mais je voyais aussi qu'elle essayait de m'écouter sans m'interrompre, alors je décidais de continuer.

« Mon père, Jor El essaya en vain de convaincre  le Conseil de faire quelque chose. Malheureusement, ses membres n’ont jamais voulu faire quoique se soit. Mon père a été relevé de ses fonctions et n'a plus eu le droit d'assister aux réunions du Conseil.  Les anciens ont au contraire tout fait pour le discréditer aux yeux de tous afin que ses théories restent du domaine de la folie.

Ma mère et lui convaincue de leur théorie de fin du monde, on fait la seule chose qui rester en leur pouvoir et qui leur tenais a cœur... Me sauver.  Il construisit alors un vaisseau pour m'envoyer sur une autre planète, espérant ainsi me faire échapper à la fin de leur monde.

J'entendais le cœur de Lois s'accélérai. Je caressais sa main, comprenant qu'elle encaissait la nouvelle. Elle avait compris que j'étais le Flou, mais n'avait pas pour autant découvert qui j'étais.

- Tu es... Murmura t'elle confuse…

- Oui. Répondis-je avant qu'elle ne termine sa phrase. Je suis un extraterrestre. Je viens d'une autre planète...

Elle approcha sa main de ma joue et la caressa minutieusement, comme si elle redécouvrait mon visage.

- Mais tu as l'air si...

- humain?

- oui, tu ressembles à un homme. Dit-elle se mettant tout à coup à rougir.

Je souris face à sa remarque.

- Je suis un homme , Lois, comme toi, tu es Une femme... Mais j'ai tout de même quelques différences.

- Comme ta force et ta vitesse?

- Oui.

Elle enlaça ses doigts dans les miens et maintenez sa prise tout en gardant le silence.

Elle semblait perdue dans ses pensées. J'hésitais à reprendre le fil de mon récit.

- ça va Lois? Demandais-je.

- Oui oui, je suis désolée, je pensais juste a cette situation?

- tu veux dire d'être tombé amoureuse d'un Extraterrestre?

Elle sourit,

- Oui, en quelque sorte, mais surtout à la décision du Conseil de ne pas avoir voulu prendre en considération les recommandations de ton père.

- Les Anciens voulaient surement éviter un effet de panique devant l’irréversibilité de la situation, Mais Jor El espérait vraiment être capable de trouver une solution. De plus, ma planète, Krypton sortait d'une guerre particulièrement meurtrière. Pour mon père, le seul espoir qui leur resté était de pouvoir me sauver. Et c'est se qu'ils firent...

Décidais-je de continuer quand je la vis intéresser par mes mots.

« Ils me gardèrent avec eux aussi longtemps qu'ils le pouvaient. Mais le rapprochement du soleil provoqua de plus en plus de catastrophes sur notre planète, raz de marré, irruption volcanique, ouragan... La planète subissait catastrophes sur catastrophes. Les kryptoniens se posaient de plus en plus de questions. Et c'est une planète en pleine dépression qui sombra un peu plus. Jor El était un pacifique, mais ses théories lui retombèrent dessus et il avait de plus en plus peur d'être rappeler par la conseil sans réellement savoir quoi faire en si peu de temps. Alors qu’une catastrophe devait directement atteindre Kandor, mes parents m'envoyèrent dans l'espace vers une destination méconnus des kryptonniens. La terre.

Mon père savait que sur cette planète le soleil jaune me donnerai des pouvoirs incommensurables, et que physiquement je ressemblerai aux humains.  Il espérait que je sois sauvé et qu'à mon tour, je sauve les gens de cette planète qui avait voulu m'accueillir.

Les mots de mon père résonnèrent dans mon esprit au moment où je racontais mon histoire à Lois.

« Tu voyageras très loin, mon petit Kal-El. Mais nous serons toujours avec toi. Au moment où nous ferons face à la mort, la richesse de nos deux existences t'appartiendra. Tout ce que j'ai, tout ce que j'ai appris dans la vie, tout ce que je ressens, tout cela et plus encore, je te le lègue, mon fils. Tu me porteras à l'intérieur de toi, tout au long de ta vie. Tu prendras ma force et la feras tienne. Tu verras ma vie dans tes yeux comme je verrai la tienne dans les miens. Alors le Fils deviendra le Père et le Père deviendra... le Fils. C'est tout ce que je te donne... Kal-El. »
Je suis arrivée le jour de la pluie de météorite. Lors de l'explosion de ma planète, des morceaux de Krypton ont suivit la même trajectoire que moi. Ma première action sur cette planète a été d'y apporter la destruction.
Sur ma planète nous étions sous un soleil rouge, un soleil beaucoup moins puissant que celui de Terre. Les roches ont développé une radioactivité qui a eu des répercutions inattendue sur les humains, et me concernant, me sont fatales.

Elle releva la tête vers moi.

- Que veut tu dire par fatal ? Réagis t’elle soudain inquiète.

- Toute ma vie a Smallville, j'ai prétendu être allergique à ses pierres. Mais en réalité c'est plus fort que ça. La partie de ma planète qui m'a suivi peut me tuer si je reste exposer trop longtemps. Selon la quantité quelques minutes peuvent surement suffit...

- C'est bon, j'ai compris ! me coupa t'elle. On fera en sorte que tu ne te retrouves jamais en présence de ses pierres...

Je lui souris, constatant a quelle point elle voulait prendre soin de moi malgré tout de qu’elle venait d'entendre. Je lui souris.

- La suite n'est pas compliqué, le jour de la pluie de météorite, mes parents m'ont trouvé et m'ont adopté.  Après j'ai appris à grandir en gardant mon secret et en développant mes pouvoirs. Bref, tu connais le reste de mon histoire.
- Si je m'y attendais. Depuis toutes ses années que j'ai passé avec toi, et même vivre avec toi, je n'ai rien vu. Et dire que je suis journaliste. Bouda-t-elle.

 Je lui souris en retour.

- Lois, de toutes les personnes que j'ai fréquentées, tu as été la seule à m'accepter telle que j'étais. Sans chercher à en savoir plus, sans te douter que j'avais un secret. Me prenant simplement pour Clark Kent. Je ne me suis jamais senti aussi normal que lorsque j'étais en ta compagnie et c'étais tellement agréable de pouvoir lâcher un peu tout le poids que je portais avec ce secret.

Elle me sourit attendris.

- C'est une façon de me dire que décidément, je ne suis pas très observatrice..."
Je la pris dans mes bras.

- Non, c'est ma façon de te dire à quel point tu es spécial et à part pour moi. Et à quel point je suis bien avec toi.

- C'est pas plus mal, parce que maintenant, ça va être dur de te débarrasser de moi.

Elle se blotti un peu plus dans mes bras, et caressait sa mon torse. J'aimais son contact.

- Mais tu ne m'as pas dit? Depuis quand es-tu au courant? Demandais-je soudain.

Elle me sourit, espiègle, avec des yeux rieurs. Puis son regard plongea dans le mien et elle approcha ses lèvres des miennes qu’elles sellèrent dans un baiser. Une décharge électrique m'envahit quasi instantanément comme à chaque fois que j'étais si proche d'elle. Et notre échange se transforma rapidement en un instant passionné et incontrôlable.

Je la sentis m'inciter à changer de position pour qu'elle puisse se mettre à califourchon sur moi et quand se fut le cas, je me laissais aller sur ses lèvres. Sa langue enflammée caressait intensément la mienne et toutes deux jouer une danse des plus sensuelles et excitantes

Puis, tout à coup, à bout de souffle elle relâcha sa prise.

- C’n’était certes pas aussi intense, mais tout autant magique. Me dit-elle sans que je comprenne ou elle voulait en venir.

Je la regardais interrogatif et elle se mit à rire.

- Je pensais que ton esprit était plus vif que les humains me dit-elle amusé.

- A croire que quand tu m'embrasses, je perds tous mes moyens. Répondis-je me rapprochant d’elle voulant continuer notre échange précédent.

Hélas, elle ne m'en laissa pas l'occasion. Elle posa un doigt sur mes lèvres m'incitant à ne plus bouger.

- Tu voulais savoir comment j'avais découvert ton secret, et bien voilà. Lorsque tu m'as embrassé dans la ruelle sombre, j'ai tout de suite réalisé que c'étais toi. Mes sentiments étaient tellement à l'unisson avec moi même à ce moment là. Ça étais comme une évidence, je comprenais enfin tout, tout est devenu si limpide. Tous tes mots, tes gestes, tes peurs, tes combats, tout est devenus clair pour moi. Une véritable révélation. Dit-elle envoûter.

Ses joues étaient rouges et son cœur battait une chamade démesurée. Encore tout retourner par notre baiser et tout autant sous son charme par les mots qu'elle venait de prononcer, je me précipitais sur ses lèvres, une fois encore totalement accros à cette femme que je trouvais sublime. Elle répondit rapidement à mon assaut et nous sombrâmes dans nos émotions respectives.

J'entendais son souffle devenir plus rapide lorsque je me mis à parcourir d’autre endroit de son visage de mes lèvres. J’embrassais ses joues, son front, son nez, sa bouche... Chaque endroit était une découverte d'émotion et de plaisir que je voulais savourer jusqu'au bout.

- Je t'aime. Ne puis-je m'empêcher de souffler et à ce moment ces yeux accrochèrent les miens.

- Je t'aime. Répondit-elle ses joues devenant plus roses qu'elles ne l'étaient.

La passion s'était adoucie et seule la tendresse restait. Elle me serra plus fort encore et je sentais qu'elle voulait continuer la conversation.

- Je peux te poser une question un peu particulière? Demanda-t-elle finalement.

- Bien sur, l'invitais-je.

- Je me demandais, dit-elle légèrement hésitante, concernant tes pouvoirs, ta force et ta puissance...

- Oui ?

- Tu te contrôle totalement? Dit-elle. Je veux dire, c'est stupide comme question, mais il n'y a aucun danger? Dans n'importe qu'elle situation? Dit-elle le regard suggestif.

Je souris de toutes mes dents, devant son malaise, comprenant ou elle voulait en venir. Il était si rare de voir Lois Lane rougir et hésitante ou embarrasser.

- Aurais-tu peur de prendre un risque Lois Lane? Demandais-je amuser.

- Non, bien au contraire, mais je ne voudrais pas que tu me refuses certain avantage à être ta petite amie. Dit-elle avec un grand sourire.

- Je pense que je pourrais envisager de prendre le risque. Je me contrôle ajoutais-je pour la rassurer. En toute circonstance.

- Tu avais l'air si troubler par un simple baiser, alors imagine toi entièrement dans mes bras.

- Je ne préfère pas imaginer de peur de te donner raison. Dis-je en souriant.

Nos sourires étaient sincères et détendus, et je me sentais en paix.

- Tu penses qu’on va pourvoir rester ici toute la journée.

- J'aimerais bien, mais je suppose que ça risque d'être difficile à justifier auprès de Tess. Répondis-je
Elle se blotti contre moi.

- Je n'aimerais pas être interrompu trop vite.

Je lui caressais le visage, ma main englobant totalement le contour de sa joue.

- Prenons notre temps, nous avons toute la vie.

Elle confirma d’un simple signe de tête et de te pelotonna tout contre mon torse.

- De toute façon, je pense que je suis loin d'avoir découvert toutes les faces cacher de Clark Kent !
Fin de l'extrait

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